Le climat a besoin des leaders occidentaux

  A Bangkok, ils n’ont pas dit dans quelle mesure ils allaient réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.

   Ils n’ont pas non plus expliquer comment ils aideraient les pays en développement à faire face aux dérèglements climatiques en cours et à s’adapter à eux. Tant que les Etats-Unis et l’Union Européenne refuseront de parler chiffres et pourcentages, les négociations piétineront, car les pays en développement attendent ce premier pas des pays riches pour s’engager à leur tour.

  Les nations industrialisées doivent reconnaître leur « dette climatique » à l’égard des pays du Sud : ce sont eux qui ont le plus pollué, mais c’est au Sud que les changements climatiques se feront le plus sentir.

 

source: www.greenpeace.fr